La mention du nom du traducteur sur la couverture d’un livre n’est pas une pratique courante en Europe, comme le démontre une récente étude de visibilité conduite parmi nos membres avec cependant des différences considérables entre les pays. En contraste avec l’esprit du copyright international (http://www NULL.ceatl NULL.eu/droits-du-traducteur/statut-legal/?lang=fr) et la Recommandation de Nairobi (http://portal NULL.unesco NULL.org/fr/ev NULL.php-URL_ID=13089&URL_DO=DO_TOPIC&URL_SECTION=201 NULL.html) de l’Unesco, les éditeurs continuent souvent à considérer les traducteurs littéraires comme des prestataires de service, non comme des auteurs. C’est pourquoi le CEATL a commencé une collection de couvertures (https://picasaweb NULL.google NULL.com/113121628745655293142/NameOfTheTranslator?feat=flashalbum#) de livres publiés en Europe, montrant qu’une couverture qui mentionne le nom du traducteur n’est pas nécessairement inesthétique. Cette collection sera peu à peu augmentée. Editeurs et traducteurs, n’hésitez pas à nous envoyer vos couvertures de livres!
Protecting the rights of creators and artists vs generative AI: Joint letter to the European Parliament
13 international authors’, performers’ and other creative workers’ organisations sent this letter today to MEPS in the European Parliament’s JURI Committee ahead of the publication of their report “Copyright and generative artificial intelligence – opportunities and challenges”.