La mention du nom du traducteur sur la couverture d’un livre n’est pas une pratique courante en Europe, comme le démontre une récente étude de visibilité conduite parmi nos membres avec cependant des différences considérables entre les pays. En contraste avec l’esprit du copyright international (http://www NULL.ceatl NULL.eu/droits-du-traducteur/statut-legal/?lang=fr) et la Recommandation de Nairobi (http://portal NULL.unesco NULL.org/fr/ev NULL.php-URL_ID=13089&URL_DO=DO_TOPIC&URL_SECTION=201 NULL.html) de l’Unesco, les éditeurs continuent souvent à considérer les traducteurs littéraires comme des prestataires de service, non comme des auteurs. C’est pourquoi le CEATL a commencé une collection de couvertures (https://picasaweb NULL.google NULL.com/113121628745655293142/NameOfTheTranslator?feat=flashalbum#) de livres publiés en Europe, montrant qu’une couverture qui mentionne le nom du traducteur n’est pas nécessairement inesthétique. Cette collection sera peu à peu augmentée. Editeurs et traducteurs, n’hésitez pas à nous envoyer vos couvertures de livres!
Denmark: new agreements on the use of generative AI
A long and hard, but in the end fruitful dialogue between the Danish Translators Association, the Danish Authors Society and the Danish Publishers Association has led to a mutual agreement on crediting practices when it comes to translators and post-editors of machine translation. The industry-wide statement confirms that post-editing of machine translations should not be eligible for PLR and includes a recommendation for publishers on how to credit post-editors of machine translations so as to avoid illegitimate access to PLR-remuneration.